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C'est tout simple, Huyghens a rassemblé d'autres musiciens (une batteuse et une violoncelliste) et puis comme si de rien n'était, le revoilà parti comme en 40, avec un nouvel album ("Joy") sous le bras, un nouvel alias sur sa carte de visite (Joy) et de nouvelles chansons. Enfin pas que. L'album comporte aussi une reprise (plutôt chouette) du Long way around the sea de Low et une auto-reprise (un brin inutile mais pas moche) du Vertigone de Venus.
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Le Mirage qui vous est proposé ce matin illustre à merveille le son de ce nouvel opus : dans la droite lignée des deux derniers albums de Venus, les ballades gentiment mélancoliques de Huyghens sont arrangées avec de jolis violons quand les guitares ne haussent pas ponctuellement le ton. Alors certes le disque est assez plombant et les paroles n'arrangent rien, mais j'ai toujours trouvé qu'en tant que chanteur, Huyghens savait se jouer de la dépression et caresser la tristesse de la voix comme un violoniste les cordes de son archer. Son retour est en tout cas une bonne nouvelle pour la Belgique. Elle en avait besoin.
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Le Mirage qui vous est proposé ce matin illustre à merveille le son de ce nouvel opus : dans la droite lignée des deux derniers albums de Venus, les ballades gentiment mélancoliques de Huyghens sont arrangées avec de jolis violons quand les guitares ne haussent pas ponctuellement le ton. Alors certes le disque est assez plombant et les paroles n'arrangent rien, mais j'ai toujours trouvé qu'en tant que chanteur, Huyghens savait se jouer de la dépression et caresser la tristesse de la voix comme un violoniste les cordes de son archer. Son retour est en tout cas une bonne nouvelle pour la Belgique. Elle en avait besoin.
Joe Gonzalez
Ouééé je connaissais pas Venus, et ça ça me plait bien... du coup je vais ptet aller jeter une oreille sur ses précédents albums...
RépondreSupprimerêtes-vous de ma famille ? je suis sur la canebière et je recherche ma famille, je suis paumé au milieu de terrain, Niang me manque.
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