Sur cette étrange pochette, l'œil d'un zèbre, la fourrure d'un lion, et des motifs africains. Pas de porc, pas de moustache, pas de sombrero, pas de panique, vous ne risquez aucun type de grippe en écoutant WEAVE! le premier (court) essai du groupe Californien du même nom.
Quatuor - deux garçons et surtout deux filles - inspirés, comme la pochette le laisse présager, par l'afrobeat, les B-52's mais aussi et surtout par les groupes de filles de la période post-punk, à savoir les Raincoats et surtout les Slits.
Pas forcément méga glamour la bassiste Ivory Lee, et la batteuse Nicole Turley sont les voix de Weave! (littéralement : "Tissez !"), un nom qui semble vouloir encourager l'auditeur à créer et à tisser des liens, une invective ma foi bien choisie, et suffisamment peu d'actualité pour mériter que l'on s'en réjouisse. Outre le rapprochement évident d'avec les Slits, c'est avec une autre personnalité Californienne que l'ont pourrait rapprocher le son et surtout les harmonies vocales (à moitié fausses, la moitié du temps) de WEAVE! : Jeremy Jay, lui aussi originaire de Los Angeles, lui aussi tourné vers le présent, avec un oeil sur le rétroviseur (dans son cas, on citera plutôt K Records que Rough Trade, cependant).
Avec six chansons, aucune ne dépassant les deux minutes et trente secondes, c'est seulement un CV Universitaire - pas forcément exempt de toute coquille - que nous laisse le groupe, mais leur cursus est suffisamment diversifié pour que l'examen final que sera l'enregistrement d'un album se pose comme une attente pour les amateurs de post-punkindie-beat. Tout ceci serait plus ou moins anodin, vous le devinez, s'il n'y avait cependant un énorme tube d'entrée de jeu avec ce Mouthpiece Hysteria à la ligne rythmique imparable, que vous pouvez écouter sur leur Myspace.
Pas forcément méga glamour la bassiste Ivory Lee, et la batteuse Nicole Turley sont les voix de Weave! (littéralement : "Tissez !"), un nom qui semble vouloir encourager l'auditeur à créer et à tisser des liens, une invective ma foi bien choisie, et suffisamment peu d'actualité pour mériter que l'on s'en réjouisse. Outre le rapprochement évident d'avec les Slits, c'est avec une autre personnalité Californienne que l'ont pourrait rapprocher le son et surtout les harmonies vocales (à moitié fausses, la moitié du temps) de WEAVE! : Jeremy Jay, lui aussi originaire de Los Angeles, lui aussi tourné vers le présent, avec un oeil sur le rétroviseur (dans son cas, on citera plutôt K Records que Rough Trade, cependant).
Avec six chansons, aucune ne dépassant les deux minutes et trente secondes, c'est seulement un CV Universitaire - pas forcément exempt de toute coquille - que nous laisse le groupe, mais leur cursus est suffisamment diversifié pour que l'examen final que sera l'enregistrement d'un album se pose comme une attente pour les amateurs de post-punkindie-beat. Tout ceci serait plus ou moins anodin, vous le devinez, s'il n'y avait cependant un énorme tube d'entrée de jeu avec ce Mouthpiece Hysteria à la ligne rythmique imparable, que vous pouvez écouter sur leur Myspace.
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