Bonjour à tous! Ce matin, c'est avec quelque chose de "relativement récent" que l'on va vous réveiller. Eh oui, il m’arrive parfois de sortir de ma retraite temporelle des années 60 et 70… Le trio anglais The Pipettes avait sorti son premier album "We Are The Pipettes" en 2006, vous vous en souvenez peut-être. Et quand vous aviez écouté, quand vous aviez vu (vous pouvez même revoir, à droite), vous vous étiez rendus compte que ces charmantes dames jouaient sur un fort aspect… rétro made in 1960. Alors en un sens j’ai encore réussi à écrire sur quelque chose qui appartient au passé, et j’en suis content, héhé!
(Dirty Mind)
Donc ce matin, c’est à grand coups de piano kitsch, de rythme bien marqué, de "papapa papapa" et d’harmonies vocales que je vous tire du lit. Car si Dirty Mind n’arrive pas à vous arracher à vos draps je ne peux plus rien pour vous.
Il y a différentes choses qui font que pour moi, c'est un morceau à écouter en début de journée. Le mixage, tout d'abord, qui se prête bien au jeu, avec des voix en avant, un son clair et des aigus précis (la basse est très en retrait), accompagnant parfaitement la fraîcheur de l'ensemble et puis cette vivacité, cette bonne humeur. C’est un petit tube, avec ses 2'43", une claque vigoureuse qui fait circuler le sang. Certes, Dirty Mind, n’a rien inventé, Les Pipettes n'ont fait que se réapproprier une recette, mais c’est plutôt réussi. Pas de révolution, juste un retour aux sources supplémentaire qui méritait votre attention. Alors que je n'écoute plus l'album en entier, Dirty Mind est l'un des rares morceaux à n'avoir pas trop mal vieilli et j'y reviens régulièrement. Le groupe en lui même n'existe plus tel que vous le voyez en photo ci-dessus, il ne reste que Gwenno, qui fait désormais équipe avec une autre copine, pour produire une espèce de sous-disco vraiment pas terrible... Bah, allez comprendre.
Hugo
elles ont l'air pasmal !
RépondreSupprimerElles sont bonnes, oué !
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