Je suis un être plein de contradiction. Aussi ai-je attendu de vous avoir récapitulé l'ensemble des catégories d'articles, existantes et à venir, pour très vite en créer une nouvelle.
Ne vous en faites pas, rien de très compliqué, et cela risque même de devenir un type d'articles assez courant: il s'agit de vous proposer un single - ou 45 tours comme l'on disait jadis, avant que cela ne devienne "CD 2 titres" dans les années 90 puis "singôle" depuis quelques temps - via son clip, et de vous en toucher deux mots.
Je sens venir des questions, mais comme vous êtes encore timides sur les commentaires, je vais me la jouer précog et anticiper:
On commence donc, tout de suite, avec une chanson issue du premier album de Magazine, groupe pionnier du mouvement post-punk en Angleterre, avec à sa tête un intellectuel au look glam ténébreux, Howard Devoto.
On est en 1978, Devoto explique en partie la "pulsion négative" qui le fait mener sa barque depuis qu'il a quitté les Buzzcocks, et cette lumière qui sort de lui, c'est à l'en croire la créativité issue d'une négativité emplie d'amour (noir)... euh...
Ne vous en faites pas, rien de très compliqué, et cela risque même de devenir un type d'articles assez courant: il s'agit de vous proposer un single - ou 45 tours comme l'on disait jadis, avant que cela ne devienne "CD 2 titres" dans les années 90 puis "singôle" depuis quelques temps - via son clip, et de vous en toucher deux mots.
Je sens venir des questions, mais comme vous êtes encore timides sur les commentaires, je vais me la jouer précog et anticiper:
"Comment choisis-tu les singles ?"
>> Facile, ce seront les morceaux qui hantent régulièrement la caverne humide qui me sert de caboche. Par ailleurs, ce ne seront que des chansons poussiéreuses, souvent issues des années 70 et 80 (mais aussi des 60's et 90's, mais moins).
"Quel intérêt pour nous ?"
>> Ça vous fera une culture musicale ! (bam dans les dents)
" Et s'il n'existe pas de clip ?"
>> Dans ce cas, je vous la chanterai, non mais ça va aller, oui ?
On commence donc, tout de suite, avec une chanson issue du premier album de Magazine, groupe pionnier du mouvement post-punk en Angleterre, avec à sa tête un intellectuel au look glam ténébreux, Howard Devoto.
On est en 1978, Devoto explique en partie la "pulsion négative" qui le fait mener sa barque depuis qu'il a quitté les Buzzcocks, et cette lumière qui sort de lui, c'est à l'en croire la créativité issue d'une négativité emplie d'amour (noir)... euh...
The Light Pours Out Of Me:
I like this !
RépondreSupprimerOn n'est pas sur Facebook, jeune homme avare de mots ! (ça me fait plaisir que tu aimes)
RépondreSupprimerPour être un peu généreux, je dirai que c'est même l'album entier que j'aime d'amour fou, d'amour tendre, de TRUE LOVE.
RépondreSupprimerLa face B est absolument parfaite entre Motorcade (qui me fait penser à la BO de Phantom of the paradise), l'ambiance freaks fête foraine de The Great Beautician in the Sky, le tube dont il est question ici et enfin Parade pour finir en beauté.
Sans oublier Shot by both Sides sur la face A qui est l'une de mes chansons préférées ever.
Le second album, même si je le connais beaucoup moins, m'a considérablement moins touché pour l'instant.
Le deuxième album du groupe est moins homogène que le premier mais il a de sacrées fulgurances. Il va encore plus loin dans l'emphase et la sophistication tout en gardant ce phrasé punk et jouissif. En fait Magazine, c'est du punk progressif !
RépondreSupprimerEn tout cas Secondhand Daylight mérite un paquet d'écoutes avant d'être véritablement cerné mais l'album vaut largement cette patience, ne serait-ce que pour les deux chefs-d'œuvre post-glam Cut-Out Shapes et Permafrost.
C'est rigolo parce que je réécoute beaucoup mes albums post-punk favoris en ce moment et The Scream et Real Life sont vraiment fous. On est un frères de (re)découvertes Joe !
Duck.
Merci pour ces précisions sur Secondhand Daylight, que je compte bien découvrir très vite.
RépondreSupprimerAvec tout ça, je vais finir par réécouter Low et Heroes, on n'est à l'abri de rien.
J'aime bien. Y'a un riff. Et quand y'a un riff, j'aime bien. Ce qui fait que je kiffe plein de trucs.
RépondreSupprimerSympa, mais t'as oublié de préciser qu'il s'agissait d'une reprise de Daho. Etienne Daho.
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